mercoledì 28 dicembre 2011
giovedì 26 maggio 2011
Non va tutto male, lo sai no? Ci sono difficolta', ci sono ostacoli. momenti di sconforto. Ma non dubitare di te stessa. Non ne vale la pena. E soprattutto, assapora ogni emozione conquistata a fine giornata. Preziose come il sale, forti e abbaglianti come una lama d'acciaio. Roboanti come l' oceano. Lascia che ti scuotano.
giovedì 19 maggio 2011
lunedì 25 aprile 2011
...e questo e' il fiore del Partigiano morto per la liberta'.
io mi auguro che ognuno di noi possa avere un momento di riflessione sulla Liberazione d' Italia dal nazifascismo e soprattutto su cosa sia stata la lotta di Resistenza in Italia, dal '43 al '45. Per capire dove stiamo andando, e' vero che dobbiamo prima apprendere da dove siamo venuti. Voler considerare la nostra storia passata ormai vetusta, archiviata in modo passivo come priva di esempi ancora attuali continua ad essere un errore. Un errore che stiamo pagando con la presenza nel nostro paese di fascimi piu o meno evidenti che passano strisciando tra le persone che fingono di non vedere, che accettano passivamente e che si rendono colpevoli di un ritorno all' imbarbarimento della societa' italiana. Dovremmo rileggere tutti cosa furono quei giorni di Resistenza con gli occhi dei protagonisti, per capire cosa fu davvero il nazifascismo per l' Italia.
Fu una guerra di Liberazione e di Resistenza di una parte di italiani che non si vollero arrendere agli orrori e alla barbarie di un regime sanguinario. E l' Italia che nel 1946 ha promulgato la Costituzione e' nata proprio anche da questi gesti di coraggio e sacrificio. Auguro a tutti davvero una sana riflessione.
e qualche lettura:
Mirco Dondi: La lunga liberazione, Roma, Editori Riuniti
Ermanno Gorrieri: La Repubblica di Montefiorino. Per una storia della Resistenza in Emilia
Ermanno Gorrieri e Giulia Bondi : Ritorno a Montefiorino. Dalla Resistenza sull’Appennino alla violenza del dopoguerra
Cesare Pavese: La luna e il Falo'
Italo Calvino: Il sentiero dei Nidi di Ragno
Beppe Fenoglio: Il partigiano Johnny
Giorgio Bocca: Partigiani della montagna; Partigiani della Pianura
C. Silingardi, Una provincia partigiana. Guerra e Resistenza a Modena
C. Silingardi: Storia Modenese dell' Antifascismo
mercoledì 6 aprile 2011
“La vraie liberté, c’est avoir le droit de se tromper. Tu as le droit de merder, tu es libre. La réussite n’est jamais une preuve de liberté alors que l’échec est toujours une preuve de liberté. Il faut se tromper, il faut faire des erreurs. Il faut se casser la gueule. Il faut avoir mal, il faut pleurer. Et parfois on dit des bêtises, mais ça n’a pas d’importance.”
e intanto metto un pizzico di zucchero nella passata per renderla meno acida...
martedì 5 aprile 2011
altro paese, la stessa scrivania..
In questo periodo forsennato, conservo poco equilibrio, poco contatto con la realta' e tanti dannati sogni. La speranza di rientrare dove ho i miei affetti. La speranza di rivedere chi e' dall' altro capo del mondo. La speranza di trovare un' occupazione decente, che non mi faccia rimpiangere troppo sta dannata fisica. E cmq, rimpiango i momenti di Paris, anzi...non e' che li rimpiango, mi mancano. Ne vorrei rivevere molti, da quelli piu melancolinici, ai piu' esaltanti, passando da tutti i luoghi cari...e ce ne sono. da la tombe issoire a place de vosges, dalla butte agli onnipresenti quai del st martin, rue st marthe, la cordonnerie, gli zozzi, oddio...troppi posti. troppe emozioni. non me ne sono mai andato. forse mai me ne andro'...rimane sempre quel fil rouge.
paris ti tocca una volta, ti tocca per sempre.
martedì 22 febbraio 2011
pilules
Je prends le métro dans la meute je reve de partir
dans des pays ou il fait chaud a l’autre bout du monde
loin de ce boulot qui me tue et qui creuse ma tombe
Je me leve et je prends des pilules pour dormir
les jours se ressemblent et putain que c’est triste a mourir
quand on a rien pour soi que les cheques de fin de mois
la télé, le canapé, et le crédit a payer
je fais les RUES, je fais les LIEUES où on ne m’attend pas
ceux que je croise au fond des yeux non ne me voient pas
je parle a des gens comme moi qui ont l’air de rien
des esclaves en MUSELIERE qui n’en pensent pas moins
je fais le mort je fais le fier je fais celui qui existe
mais dans l’ombre du miroir je ne vois que du triste
parano dans LES RUES putain je parle SEUL
toxyco au pognon je vais droit au cercueil
en or s’il vous plait je voudrais qu’on M’INHUME
mais j’ ai les moyens que de la fosse commune
un jour c’est vrai je vais finir par me trouver un flingue
ET je descendrai dans la rue si tu veux je deglingue
ils me mettront au fond du trou une balle dans la tete
PUTAIN ce sera pas pire que mon putain de quotidien
Je me leve et je prends des pilules pour dormir
Je prends le métro dans la meute je reve D’partir
dans des pays ou il fait chaud a l’autre bout du monde
loin de ce boulot qui me tue et qui creuse ma tombe
j’ai des amis j’ai des amours je connais pas leur nom
ON SURF TOUS AU GRES DES TOILES
SURE QU’ON EST PRIS DEDANS
SURE QU’on est rien de rien que du vide que du vent
SURE QU’on est rien rien que des MORTS, QUE des morts vivant
je reve un jour de rencontrer les filles de Miami
les stations s’enchainent, moi je sors a Vitry
dans les couloirs du métro je crache sur les murs
mais la nation me guette, etla nation me guette
je suis un homme mort coincé entre 4 murs
je suis je suis je suis je suis un homme moderne
je me cogne la tete et j’essaie de m’enfuir
mais le mirador guette ouais le mirador guette
je sais qu’ils me regardent en haut du haut du satellite
dans mes reves d’Amérique moi je tente de fuir
le lendemain qui m’attent le couteau le couteau dans le dos
je sais bien au fond de moi meme qu’ils veulent me faire la peau
3 jours dans le métro moi je suis le troupeau
direction l’abattoir A 4 pattes sur le dos
ils me mettront comme ils ont mis mes parents et les tiens
pour qu’un putain d’actionnaire nage avec les dauphins
Je me leve et je prends des pilules pour dormir
Je prends le métro dans la meute je reve de partir
dans des pays ou il fait chaud a l’autre bout du monde
loin de ce boulot qui me tue et qui creuse ma tombe
Je me leve et je prends des pilules pour dormir
les jours se ressemblent et putain que c’est triste a mourir
quand on a rien pour soi que les cheques de fin de mois
la télé, le canapé, et le crédit a payer
Le pays sous lexomil, l’ecstasy sous vos liens l’héroine de mes nuits, des acides dans les chewing gum
des cachets pour maman des anti dépression
du viagra pour les vieux et des calmants pour les enfants
neuroleptiques toujours sur qu’on cherche le jour
ou L’on verra la lumiere dans tant de contrejours
société c’est perdu nos amours sous tranquilisants
qui sommeille dans les couers des métros des perdants
dis quand viendra le jour ou nous retrouverons flamme
Ici tout est fini Paris n’est plus Paris
chez les gauchistes, dans la droiture, chez les anar de mon pays
y a que les télés qui s’allument et les filles qui disent oui
satellite, ecstasy, somnifères sur mon esprit
est ce qu’un jour je verrai les filles de Miami
QU’ON M’INTERNE A LA MINE, JE CHERCHE QUI JE SUIS
POUR UN COUP DE SOLEIL FAUDRA PAYER LE FRIC
LES PORNOS ET LES JOINTS NON NE ME FONT PLUS RIEN
MOI JE CRACHE MON VENIN A LA FACE DU DESTIN
LES STATIONS DE METRO SONT MON UNIQUE ROUTE
SOUS L’ACIDE DES PLUIES, PASSER ENTRE LES GOUTTES
ALORS LA NUIT JE TRAINE COMME UN LOUP DANS LA PLAINE
QUI POURRA REMPLACER LE POISON DANS LA PEINE
ET JE CHERCHE AUX ETOILES A QUI DONNER MON CORPS
DANS LES BOITES A COCHON JE BAISE SUR LES DANCEFLOOR
ognuno vada dove vuole andare.
io cerco di andare per la mia strada...ma a volte temo di essere su una carreggiata pin coun di gran bus pin ed aqua.
boh.
i miei 4 stracci.
giovedì 17 febbraio 2011
così dicevi perché i miei occhi pieni di stazioni e chiese
ritornassero blu
Le mani, le mani già lo sanno che non vivranno qui
e, mi spiegavi, per questo vedi amore non si fermano un momento
e tremano così.
Tutti dicono "la mia Parigi"...cosi utilizzata ste' espressione, cosi' dannatamente vera.
Una paris diversa per ogni persona toccata da sta citta', una paris diversa per ogni giorno. per ogni emozione li' nata e vissuta. una paris diversa speciale per ogni persona incontrata. un luogo diverso per ognuno, des rues, des coins differents, des endroits insolites. non?
Il faudrait revenir sur ces lieus la bas, non?